C’était il n’y a pas loin d’un an maintenant. La veille au soir, sous la douceur rougie du soleil couchant, nous étions venus jeter un coup d’œil, et un vaquero — qui s’était présenté comme le mayoral de l’élevage — avait tout fait pour nous décourager de revenir. Peu de toros, pas grand-chose à voir ! Nous étions revenus le lendemain, forts d’un coup de téléphone au tenancier du lieu ; don Mariano Sanz Giménez et le
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