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Laurent Larrieu

Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXXII)

C’est justement à ce Jacinto Trespalacios qu’il est indispensable de se référer pour reconstituer la survivance de la famille Vázquez – Veragua, au Portugal, au cours du XXe siècle. Originaire de Trujillo, en Estrémadure espagnole, Jacinto Trespalacios devient ganadero de lidia, une première fois, en 1870, en achetant des bêtes d’origine Jijón, via le marquis de la Conquista, à Juan Manuel Fernández. Tout
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXXI)

Entre les cornes d’un Palha parladeño, c’est tout un futur qui s’ouvrait sur les prés de « Vil Figueiras » et « Recouçao » ; une genèse qui éloignait l’élevage de l’utopie veragüeña. Fortement dilué dans ‘Chinarra’, qui fut couverte par des mâles Pinto Barreiros chez Ribeiro Telles, éparpillé dans ses filles, clairsemé dans ses petites-filles, le sang Veragua des Palha Blanco s’accrochait à ses terres en lui co
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXX)

« Ah, mon cher ami, si vous saviez, je les aimais ces duchesses de Palha ! Et je rêvais de pouvoir ramener certaines filles de ‘Chinarra’ sur mes terres. Mais, vous savez, dans la vie, les choses ne sont pas toujours simples, et l’on ne fait pas toujours ce que nous dictent nos rêves. Bref, bref… Un jour, j’ai demandé à David Ribeiro Telles de me vendre certaines des filles de ‘Chinarra’. « C’était le début des année
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXIX)

Chamusca, au nord de Santarém, en plein Ribatejo, est un gros village étiré en bord de Tage comme s’il lui courait à côté pour l’encourager. C’est à Chamusca qu’est né, en 1877, Norberto de Vasconcellos Mascarenhas Pedroso, et c’est à Chamusca qu’il créa et installa une ganadería de toros, en 1911. En 1904, ledit Norberto épouse une certaine Isabel Mota Infante da Câmara, fille d’Emílio Infante da Câmara, ganadero de
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXVIII)

À « Torrinha », ‘Chinarra’ et ses sœurs allèrent compléter le troupeau des vieilles vaches, celles dont les origines n’avaient pas grand-chose à voir avec les Parladé de Pinto Barreiros. Les duchesses veragüeñas partageaient ainsi les terres sablonneuses d’un petit paradis avec les Pinto Barreiros, donc, mais aussi certainement avec quelques anciennes portugaises héritées du père de David Godinho, Manuel Ribeiro Tell
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