L’afición nîmoise s’est donc retrouvée ce matin pour l’hommage aux quarante ans de l’alternative de Christian Montcouquiol «Nimeño II». Ce fut simple et émouvant, sans pathos. Pour beaucoup l’occasion de partager des souvenirs désormais lointains, évoquer une époque aujourd’hui révolue et un torero qui nous manque encore.