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Fandiño…

Fandino

  1. FRIZZI CHRISTIAN Répondre
    AGUR Il avait pris l’habitude de venir se mettre là, juste devant nous, à Dax, comme à Mont de Marsan. Ivan s’éloignait de ses collègues, pour mieux se concentrer, pour mieux être prêt. On lui lançait à mi-voix un : “Gora Ivan“ Lui, la tête enfouie derrière son burladero, entre ses deux grandes mains, souriait, se retournait et nous faisait un clin d’œil, un jeu, presque un rite. Puis, il allait se saisir de sa cape, et se lançait, le cœur à la pointe de la corne. Du jeune homme je ne veux conserver que quelques images. La pâleur de son visage avant et après son encerona ratée de Madrid, un fiasco magnifique. L’appel d’un membre de son équipe, un jour à Dax pour me demander si je savais ou dormait un autre matador, vedette reconnue, être sur de ne pas le croiser….le sérail l’avait rejeté. Une faena à genoux, se jouant la vie. Une épée immense a cuerpo limpio à Madrid. Son visage grave. Son sourire encore. Son courage absolu. Sa voix grave et profonde Je n’ai pas de mots…. Repose en paix Ivan. Agur Ivan. CHF
  2. Chazelas Répondre
    Je présent. Toutes. Mes condoléances. Au jeune toréador a ses parents famille et amis. Amies ainsi qu'à tous ceux qui organise la tauromachie il s ont perdu, une très belle personnalité !!! Voilà ce que je peux. Dire moi j'aime la tauromachie. Pas que pour tuer les taureaux, mais pour tous le seremonial qui fait la beauté de la corrida, la beautée des habits. De la musique j'adore, mais c'est un sport très risqué malheureusement. Pour ses jeunes ou moins torero !!!! Un dernier amen pour le défunt.
  3. Anne-Marie Répondre
    Et un de plus. Paix à son âme. Une pensée pour Victor Barrio.
  4. Anne-Marie Répondre
    Et bravo au journal Le Monde pour leur article. C'est rare.
  5. Bernard Lamarque Répondre
    Chapeau bas monsieur Bruschet! Cette photo que je trouve magnifique est un très bel hommage car face à cette tragédie il n'y a pas de mots. En tout cas je n'en ai pas. La nuit de samedi à dimanche a presque été blanche pour moi et je ne savais pas pourquoi. Peut-être parce que tout simplement, malgré la conscience que j'ai du danger majeur de ce métier, à force de les voir et revoir, je les imagine invincibles, tels des héros sur lesquels je projette toutes mes frustrations de simple humain. Mais les héros aussi tombent; et j'ai du mal à me rendre à cette évidence. Beñat
  6. Anne-Marie Répondre
    Et de lire ou relire le livre de Florence Delay, Œillet rouge sur le sable, dans une belle édition illustrée de dessins de Francis Marmande (Farrago – Éditions Léo Scheer).

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