Ce soir, le lion est mort.
Un lion altier à fière crinière qui avait fait sienne la devise d’un autre félin : « Le léopard meurt avec ses taches, et je ne me suis jamais proposé, ni ne me suis cru capable, de m’améliorer. » — Guy Debord
Et c’est ainsi qu’il a vécu. Nous lui devons vingt-cinq ans d’afición et de respect.
José Angulo, qui me transmet ces lignes, évoquera prochainement la mémoire de son ami Jean-Louis.
Ce soir, Campos y Ruedos est triste.