C’est un fait, acquis, les toros s’ennuient le dimanche. Et pas que les toros, les aficionados aussi. En attendant le printemps et le soleil, certains plongent leur nez dans les effluves subtiles et complexes d’un Pedro Ximénez, d’autres… Eh bien d’autres… On ne va pas non plus leur jeter la pierre. Tout le monde ne peut pas avoir la chance de vivre au sud de la Loire.