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La vérité selon Rafael

Et comme le dit Yaya : « J’adore quand les vieux n’en ont plus rien à faire et se lâchent. »
Là, c’est Rafael de Paula, à lire dans le Diario de Jerez. Un autre monde…

rafae

  1. T69 Répondre
    ça met un peu de temps à partir, mais quand il attaque sur Morante et qu'il enchaîne sur le reste, ça envoie les pieds ! ... j'en profite pour saluer moi-même Barack Obama qui en a bien besoin !
  2. JLB Répondre
    Et ça réplique dans "Sevillatoros" : Secuelas de entrevistar a un majareta Paula2012LUIS CARLOS PERIS.- Entrevistar a un majareta que ha sido importante puede dar mucho de sí. El majareta, como el borracho, suelta lo que lleva dentro y eso suele ser motivo para que sus declaraciones se conviertan en comidilla generalizada y en suplicio para los que ven que aquel afecto que el orate decía dispensarles era de mentira. Si además, el entrevistado le añade al mal estado de sus cables la ingratitud, la entrevista se convierte en una bomba de gran efecto. Rafael de Paula hace mucho tiempo que perdió el norte para caminar de la extravagancia a una falta de compostura que le lleva, incluso, a escupir en la mano que alguna vez le dio de comer. Duele verle en este estado y quizá convendría aconsejar que jamás se le vuelva a poner en sus manos una escopeta como se le ha puesto en forma de entrevista. Dolorosamente, el Paula que nos encandilaba ya no existe.
  3. Spin doctor Répondre
    Pauvre Rafa ! Ses pantalons jaunes, sa phlébite et sa couche-culotte ....
  4. Laurent Larrieu Répondre
    Michel Galabru avec les cheveux longs, c'est original.
  5. ludo Répondre
    J'suis bien d'accord avec Yaya. Par contre il a toujours autour du cou la serviette qu'il avait si subtilement subtilisée au nez et à la barbe de tout le monde au Parador de Ronda il y a de cela 2 ans environ alors que des "inutiles" tentaient de lui remettre une "llave de oro" avec laquelle il les envoya lui tourner les patates frites s'ils n'avaient rien d'autre à faire à Jerez. Et , détail paulista, il exigea aussi qu'on donne des chaises aux quatre pauvres bailaoras en traje faralay qui venaient d'amuser la galerie et à qui on n'avait même pas penser à offrir un verre. Il recommanda aussi à l'assemblée et au reste du monde de ne pas acheter un livre dont l'auteur était...son fils et dont le sujet était...lui-même.Un tio. JLB, Peris, por muy betico que sea, es una lechuga. Con perdon de la palabra. Abrazo.
  6. Murciélago Répondre
    Cela n'amuse pas tout le monde: http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2014/11/03/les-pathetiques-tribulations-de-rafael-de-paula-583680.html

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