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C’était bien

Valencia, 26 juillet 2015 — Six toros de Miura pour ‘Rafaelillo’ et Manuel Escribano.


C’était bien… putain, j’arrive pas à dire autre chose que ça.

C’était bien.

Je n’arrive pas à expliquer ce que j´ai vu ne serait-ce que cinq minutes après m’être explosé les mains à applaudir debout dans les gradins la faena de ‘Rafaelillo’ au cinquième toro. C’est nul de ne pas pouvoir écrire autre chose que ça. Je n’ai absolument rien qui sort. Pas d’excuses ni d’anecdote à la con. Véridique l’anecdote, mais à la con quand même. Évidemment, je pourrais vous balancer les ingrédients : ‘Rafaelillo’, Escribano, Miura, mano a mano, attitude, competencia, pundonor, ambition, torería, courage, mais ça ne vous décrit pas les saveurs originales, le mélange exquis ou la texture raffinée du plat.

À l’inverse, je pourrais vous écrire des pages, des romans, des trilogies, des encyclopédies d’insultes, de dénigrements, de dégout et de dédain que les trois comparutions de Morante dans ces arènes et pendant cette même année m’inspirent.

  1. José Angulo Répondre
    Et donc, sans trop s'avancer, a priori, c'était bien quoi !

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