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TORO

L’épigraphe dit ça :

« La première édition de TORO date de 2004. De nombreux événements ont depuis rythmé mon existence. Mais ma passion pour l’animal taureau, loin de s’amoindrir, a pris du relief et de la profondeur, jusque’à se transformer en un véritable sacerdoce. Aujourd’hui, ce dévouement au culte du taureau de combat s’est converti en ma véritable philosophie de vie ».

Depuis des années, Fabrice Torrito est le mayoral de la ganadería du Marqués de Albaserrada. Sa « philosophie de vie » a un nom, taureau, c’est lui qui l’écrit, et un prénom, Pedrajas. Pour les Français, Pedrajas, c’est compliqué à prononcer. Pour le monde du toreo, pour les taurins, pour les coquins, Pedrajas, c’est surtout difficile à digérer, à concevoir, ça fout mal au bide et à la tête. Alors c’est difficile à vendre le Pedrajas et quand on y pense, la vie professionnelle de Fabrice Torrito ressemble plus à un chemin de croix qu’à un « sacerdoce ». Mais c’est lui qui choisit les mots et nous lui faisons confiance. Il les connaît, il sait les manier, les mots… les taureaux aussi. La réédition de TORO fait plaisir. Elle rassure. En 2024, il existe encore des fous qui consacrent un livre entier au culte du toro. Amen. Merci Fabrice.

Pour commander le livre TORO, cinq années de mystères, cinq mille ans de culte de Fabrice Torrito, il vous suffit d’écrire à cette adresse mail : torisabel@hotmail.com

 

PS : un chapitre sera consacré à la ganadería du Marqués de Albaserrada dans le numéro 100 des Analectes de Campos y Ruedos qui sera envoyé aux abonnés en fin de semaine prochaine. Pour s’abonner : camposruedos@gmail.com

  1. Anne Marie Répondre
    Avec tout le respect que j'ai Laurent, et vous savez que je suis sincère, c'est un poil réducteur pour " Los Franceses". Et surprise que CyR parle de Fabrice Torrito... Mais j'ai certainement loupé des articles. Pourquoi n'avoir jamais rien écrit avant. J'ai le souvenir d'un certain Timoreno, qui a démoli un tracteur... Et, pourquoi ne jamais écrire sur nos élevages, et nos éleveurs. Ce n'est pas Arlette Chavanieu qui va me contredire. Je pense à une ganaderia Gardoise que nous soutenons. Plein de bonnes volontés sont en marche. C'est un peu dur, mais les taureaux sont là. Courage, volonté, transmission à la nouvelle génération. Comme d'autres allez-vous dire. Certes.

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