Quand j’étais gamin, le père Dudu, un grand oncle au caractère trempé, se plaisait à impressionner notre petit groupe de cousins en vacances au village. Pour ce faire, il emmenait la bande avide d’émotions fortes au fond du jardin, près des clapiers à lapins, là où poussent les orties. A mains nues, il en saisissait une poignée et sous nos yeux éberlués se les frottait énergiquement sur les bras et les jambes en loua
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