Javier Sánchez Vara, le 17 août 2024, a rempli les arènes de Tafalla. Le 17 août 2024 Javier Sánchez Vara a affronté, seul, six toros de Miguel Reta de Casta Navarra. De Casta Navarra… plus ou moins sans doute. Enfin on suppose. On s’en fout un peu du degré de pureté. L’important c’était ce sentiment de l’inconnu, de l’imprévu et du mystère. Un besoin de rusticité. L’appréhensi
À Nîmes, Daniel Luque a tué six toros de La Quinta. Il a tué le néant. Ya des types qui t’expliquent que le toro actuel c’est le résultat de deux cents ans de sélection. Et que toi, gros bêta, t’y comprends rien au toro actuel et aux deux cents ans de sélection. C’est sûr que non, que j’y comprends rien. Si ça c’est le résultat de deux cents ans de sélection, valait mieux pas le
Paco Camino est mort. Je ne l’ai pas vu, pas même à Nîmes pour l’alternative télévisée de son fils dont on dit qu’il leva le pied en fin de faena par charité pour ses trois compagnons de cartel. Camino était le torero de mon enfance, aux côtés du Viti, vus par mon père et décrits inlassablement. On sentait que le niño sabio de Camas jouissait de quelque chose de plus, un sale caractère assurément, m
St Martin de Crau « jouit » d’une réputation tenace dans le microcosme aficionado : celle de la poisse météorologique, en particulier pluvieuse ; en 2024, le Mistral s’est chargé de laver le ciel de Provence, mais tombant de Charybde en Scylla, l’assistance se trouva glacée jusqu’aux os par la puissance Boréenne. Prudent car élevé aux piégeuses Pâques arlésiennes j’avais opté pour le ret
L’on se sent parfois poissard lorsque l’on arrive après deux courses célébrées par la critique et les présents et que l’on attaque par la course de Juan Pedro. Poissard mais pas que, un peu merdeux aussi, car l’on s’y attendait : une bonne course de Santiago Domecq (superlative apparemment) et une autre de Parralejo (des oreilles et de la Porte du Prince) mais pas autant qu’à une m