La glycine est fleurie. Il faudrait que le printemps reste le printemps, qu’il ne soit pas la chrysalide pas l’été. La glycine serait toujours fleurie, et les jonquilles aussi. Et les toros seraient toujours au campo, ils resteraient des rêves, des paris sur demain, on se dirait qu’ils sortiraient forcément forts et méchants parce qu’ils sont si beaux, là, au campo et rien ni personne ne pourrait dire le contraire pa
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