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Five grades of a picador

5 grades de picadorUn négatif avec du gris a-t-il dit. L’étalonnage d’une bande en trois, six, neuf, douze, quinze secondes.

On en refait une : douze secondes en poussant le grade de 2,5 à 3.

Puis l’épreuve : douze secondes, une minute trente de révélateur, un passage dans l’eau, six minutes de fix’, cinq minutes de rinçage. « C’est grisouille, non ? Il faisait gris ce jour-là ? » peut-être : Adolfo 2015 à Madrid avec le Nikon F100 qui a fini ses jours explosé au pied de Vista Alegre en août dernier. Il n’y a pas d’ombre, le sabot est un peu gris, pas noir. Il a le visage sombre cet homme, le négatif est probablement un peu sous-développé.

L’exercice consiste à tirer avec des grades extrêmes : une demie-feuille à 5, une demie-feuille à 0. Avec et sans contraste histoire d’apprécier la différence.

5 grades de picador.

Simon Casas a déclaré récemment devant l’association El Toro de Madrid réunie pour l’occasion à Casa Patas qu’il était passionné par le premier tiers.

Le contraste, vous dis-je, le contraste !!

  1. Anne-Marie Répondre
    Et un, et deux, et trois ! Et zéro pour Casas ?

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