Le 26 décembre, on dit logiquement « c’était Noël », comme depuis plusieurs années on dit « c’était Jérôme » — logique aussi.
C’était Noël, hier, et j’étais un peu occupé pour vous écrire, hier… Comme le veut la saison, et en prévision du calendrier que ne manquera pas d’essayer de vous refourguer votre facteur — celui qui sonne pour le calendrier, mais pas pour les Chronospost le samedi matin ! —, j’ai décidé que l’attitude grincheuse de Campos y Ruedos devait cesser, et je le prouve avec cette magnifique photo de chatons prise l’an dernier chez Araúz de Robles. Car, oui, nous aimons les chats à Campos y Ruedos, beaucoup : celui de José (snif), celui de Paco, celui de Yaya, celui de Laurent, celui de Philippe, qui aime aussi les chiens en encyclopédies ; bref, nous aimons les animaux, que nous respectons dans leur nature, et même que l’on croit que la tauromachie est aujourd’hui une leçon d’humanité en même temps qu’un accomplissement symbolique de la nature humaine face à la rudesse idiosyncratique de dame Nature ; dame Nature qui aime les toros et leur combat ! Voui-voui !
Et puis on aime aussi les enfants, à qui l’on a le droit de refiler comme une chtouille notre culture séculaire de civilisation du peuple du Toro, comme les Crétois minoens et millénaires.
Voilà ! C’est Noël, ce sont les fêtes, il fait beau, la grande famille est réunie, bénis soient tous les aficionados crétois et autres, et prout aux z’antis méchants ! Beurk, la bande de naz… es !
— Vous reprendrez bien de la bûche, belle-môman !?!