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Preum’s

 

puya1

 C’était ma première corrida de l’année et déjà plusieurs ferias sont passées. Il fallait bien reprendre, « m’endonné », il le fallait… alors, pourquoi pas a Arles ?

 A comme Arles, hein, pourquoi pas ? Un bon début, logique, cohérent et alphabétique suivit du de Baltasar, y’a pas de hasard ! « ¡Biiiien! », Baltasar Ibán, »¡Bien! » et même, batacazo ou presque, dès le premier choc ça a fait crac. Le cheval contre les planches, le cavalier caché dans le callejón avant la »Cagade » majuscule du Cid… hé, bé, té, majuscule ! Quelques dais de derechazos dosés car il y’en eut de bons, biens distillés ! E comme Eclectique car la course l’était, variée, de type et de comportement. Encastéeéclectique eencastéemême des plus faibles s’exhalait une exquise essence entêtante qui embaumait l’éther de bravoure. La Force : c’est ce qui a manqué pour que tout soit parfait, Pffffiou !  G, faisons le point… Oh, ça va, si on peut plus rigoler ! Gilles, Saint- Gilles, en avril 2013, une course de Baltasar Ibán qui n’avait pas dérogée, marquée, elle aussi, du sceau de la caste. Gagas sont les aficionados car la ganadería regagne à nouveau ses gallons. Halte aux présidences hallucinées qui hachent les tercios de varas à tout bout de champ : Iconoclastes ! La jambe de Juan était bien engagée, juste là où il faut pour le jaleo, jointes parfois, juxtaposées, judicieusement planté sur ses pieds Del Alamo et jubilatoire à regarder. Le kevlar des caparaçons a krissé. Liées, les passes, longues, lentes et liées. Madrid, Madrid, Madrid, ce soir Madrid pour la suite de l’alphabet on verra plus tard si l’histoire bégaye…

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