Ricardo Torres a 37 ans et personne n’y peut rien. Il a pris l’alternative en 2001 dans sa ville, Saragosse, en se glissant dans un cartel de prestige – Espartaco, El Juli et des Toros de Jandilla – qu’il n’a jamais revu, comme souvent… Depuis, il est torero. Lors d’une tienta, début avril chez Jean-Louis Darré, il est venu tester deux vaches représentant chacune un fer de la maison, Camino de Santiago en
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