Étienne Barbazan nous a fait parvenir ces superbes photographies d’une course absolument effrayante de Dña. Dolores Aguirre Ybarra : cinq cinqueños et un cuatreño. Voici donc la corrida qui foulera la piste vicoise pour la prochaine Pentecôte.
Il est évidemment impossible de ne pas évoquer 2014, se souvenir d’Alberto Lamelas, de ‘Cantinillo” et, aussi, de Gabin Rehabi.
Il est bien difficile de ne pas se projeter, rêver, fantasmer, espérer, même si l’on ne perd pas de vue qu’en pareil cas l’attente, souvent, se solde par une déception. Le très récent solo madrilène de Fandiño est là pour nous le rappeler, et de la plus cruelle des manières.
Ceci étant, ainsi que me le faisait remarquer notre Barthole, si ces Aguirre ont l’air totalement sauvages de l’extérieur, il y a également de grandes chances pour qu’ils le soient tout autant de l’intérieur. C’est un peu la marque de la maison et notre raison d’espérer.
Il n’est pas utopique, pour les aficionados que nous sommes, d’attendre beaucoup du 25 mai prochain à Vic-Fezensac et d’en rêver. Pour les toreros…
