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Merci Jacquie et Miguel

zaballos merciquiLes Zaballos ont de toutes petites couilles, c’est la marque du Saltillo. Petites couilles, certes, mais ce sont des « couillus » les Zaballos. A Cabeza de Diego Gómez, les utreros patientent dans un cercado ouvert aux vents qu’une arène veuille bien d’eux. Aux dires du fringant ganadero, ça ne devrait pas arriver cette année. Dans un sourire sincère qui lui fait de petits yeux brillants, Miguel Zaballos a décidé qu’ils seraient lidiés l’an prochain, de cuatreños. Il espère en France. L’espoir. Comme lui, on se prend à imaginer l’arène susceptible de lui acheter la corrida. Elles sont bien peu au final. Céret ? Vic ? Aire peut-être ? Orthez, la plus légitime certainement après la bonne novillada de 2013 — et après l’accident de camion au terme duquel le ganadero n’avait pas hésité à renvoyer 6 autres novillos en terre béarnaises. L’espoir ne coûte rien après tout.
Ainsi donc, pendant que les utreros patientent, les becerros trépignent, eux. Ça se cogne, ça court, ça se cagagne, ça beugle et ça bande. Au sortir de leur cercado, un vrai « couillu » gacho s’attaque sans méandre à la croupe charnue d’un charolais adulte et frisé à l’air con. « Couillu » le petit.
« Merci qui ?
Merci Jacquie et Miguel ».

Retrouvez, sous la rubrique « Galeries », quelques photographies prises ce printemps chez Miguel Zaballos.

  1. anne marie Répondre
    Tant pis pour les Arènes, mais tant mieux pour le charolais ! Oups ! Désolée.....

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