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San Fermín

pamplonacartepostaleLes fêtes de San Fermín de Pamplona donnent l’occasion aux grands médias espagnols et internationaux de sacrifier quelques mots à la passion taurine. L’encierro y consomme plus de lettres que la corrida, c’est une évidence — et les images gores d’encornés l’emportent toujours sur la technique et l’esthétique de cette course, malheureusement —, mais ne soyons pas chiches et goûtons le plaisir de voir s’afficher en unes des articles dont le maître mot est toro.

Sur le site de la radio télévision espagnole, RTVE, outre les retransmissions quotidiennes de la course matinale, les aficionados photographes peuvent découvrir le témoignage, intitulé Estafeta 1, du photographe amateur Pío Guerindiain, âme de la curva de Mercaderes.
Toujours sur RTVE mais côté radio cette fois-ci, il est possible d’écouter un reportage sur les origines des fêtes de Pamplona.

El País consacre lui aussi une page spéciale aux Sanfermines dans les méandres de laquelle peut se lire cet article de l’écrivain navarrais Miguel Izu intitulé Verdades y mentiras de los sanfermines.

Pour celles et ceux qui ne maîtriseraient pas la langue castillane, nous ne pouvons que leur conseiller la lecture du dernier numéro de la revue Toros (4 juillet 2015 – n° 2004) dans lequel Michel Bres, le monsieur ès-San Fermín de la doyenne des revues taurines, revient sur l’histoire de ce Firmin devenu saint et aujourd’hui icône célébrée jusqu’aux confins du Pacifique du 6 au 14 juillet, chaque année.

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