Disclaimer / Avertissement légal :
Au moment de se complaire à nouveau dans la narquoiserie et, de son propre aveu, de sombrer corps et âme dans la facilité de la moquerie épaisse, de fondre sur le kitsch comme la vérole sur le bas-clergé breton, l’auteur de ce post rappelle à titre de bonne foi inattaquable, de gage d’aficion, de perspective historique et de légitimité qu’il a conscience qu’Enrique Ponce a triomphé dans toutes les arènes, tué tous types de toros (notamment Victorino en grand nombre) et mérité après 25 ans d’alternative par la constance dont il ne cesse de faire preuve dans le succès et la détermination son statut de figura del toreo.
En sus, l’auteur ne dénie à personne le droit inaliénable de prendre son plaisir où bon lui semble et avec qui bon lui semble (sous les habituelles réserves de consentement mutuel), de Cenicientos à Palavas les Flots aussi bien que celui de tutoyer les anges et perdre la tête serré par des bras audacieux, d’Acapulco à Pattaya en passant par Raqqa (euh… Jaca, pardon).
Enfin, l’auteur présente toutes ses excuses à Richard Clayderman qui s’est légitimement ému d’avoir été associé par le truchement de l’humour et de l’analogie douteuse à un festival Paul Ricard (à consommer avec modération / enjoy responsibly) auquel il n’avait pas été convié.
Bon après, y’a les Mariachis quand même…
