À la réflexion, cette photographie serait presque historique, à double titre. Il s’agit d’une corrida de toros qui s’est donnée dans les arènes de Barcelone, en Catalogne — il n’y a pas si longtemps, il s’en donnait encore ; mais le temps passe si vite. Celle-là, c’était en 1996. Le second aspect « historique » de la chose, c’est que l’animal est un toro de Victorino Martín. Des toros de Victorino, il en reste encore
Décidément l’automne est cruel pour notre Sud. José Mari Manzanares, Manitas de Plata, le marquis d’Albaserrada, et maintenant Lucien Clergue, photographe arlésien… Ici avec Joséphine Douet, au printemps dernier, pour l’inauguration de la galerie Anne-Clergue, à Arles…
C’est une image d’Antoine Beauchamp, le marquis d’Albaserrada, chez lui, en 2010… Une image émouvante, prise à la volée. Souvent, les images prises ainsi sont porteuses d’émotions particulières. Celle-ci, désormais, prendra une autre dimension. Elle restera gravée, vieillira ; et nous nous souviendrons.
Nous ne donnons pas souvent de liens. Il faut dire que la quasi totalité de la Toile taurine est à l’unisson : tous très contents de tout. Là, c’est Salvador Boix qui fait tache et se lâche. N’étant pas politologues du mundillo taurin, nous n’avons pas idée du pourquoi de ces lignes publiées dans El Mundo. Nous vous en donnons un tout petit extrait ; la totalité du papier étant accessible sur