« Tout ce qui ne ment pas est honni, traqué, chassé, vomi de haut, haï à mort. C’est le grand secret que l’on cache comment l’on pourrit jour par jour, de plus en plus ingénieusement ». Louis-Ferdinand Céline. Ça aurait pu s’appeler Guignol’s band aussi… Le voilà dans de beaux draps notre Bartholin. C’est que sa tête serait mise à prix, les menaces à peine voilées après son article peu enthousiaste sur la féria de Pa
Dans un mas en Camargue, Jacques Durand s’avance en piste vers Rodolfo Rodriguez «El Pana» et lui lit quelques lignes. Nous étions en octobre, ou en novembre, et El Pana ne passerait pas l’hiver. Evidemment personne ne s’en doutait. Le texte lu par Jacques était tiré d’un recueil de l’écrivain Norman Mailer intitulé «L’Amérique» (Editions Les Belles lettres). Le morceau choisi provenait du texte : Hommage à El Loco.
Dans la chaleur d’une discussion amicale, en poursuivant les quelques lambeaux de ciel qui se couche plus tôt maintenant, me revenait le souvenir des quelques novilladas vicoises données à la fin des années 1990 et au début des années 2000 dans les nuits d’étoiles filantes du mois d’août. Les Barcial prenaient des piques, encore et encore, couraient vers le cheval à la première sollicitation comme à la cinquième. Les
Deux jours à Bilbao : une corrida d’Alcurrucen pour Morante, Urdiales et Roca Rey, et un lot de Victorino Martin pour les deux monstres de la corrida de Séville 2016 face au même élevage : Escribano et Paco Ureña. Deux gorgées taurines intenses sur le papier, le choix facile à la lecture des cartels. L’année est sanglante et août ne fait pas exception : Roca Rey a payé à Malaga le prix d’une exposit