Les toros de Palha Blanco, ceux de la légende noire des « Miura portugais », n’étaient pas des Veragua. Pas seulement en tout cas et l’on peut aisément imaginer qu’en ce dernier quart du XIXe siècle, comme de nombreux autres, José Pereira Palha Blanco avait d’autres chats à fouetter que le maintien en pureza d’un élevage qui, dès l’origine, était issu d’un assemblage « cosmopolite » — tout en maintenant la ligne dire
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