J’ai immédiatement songé au chien de Goya. Larrieu a évoqué Leopoldo Pomés.
Photographier une corrida, pour un auteur, relève quasiment d’un rêve impossible. Il existe d’ailleurs peu d’exemples.
En tauromachie, le spectacle est offert, imposé, et la marge laissée à l’écriture personnelle infime. Les grands s’y sont d’ailleurs très peu frottés. Pas de livre taurin chez Cristina García Rodero, ou chez Robert Frank, qui a longtemps séjourné à Valencia.
Cette photographie a été prise ce week-end à Céret par Claire Florenzano. Une image qui convoque au-delà du sujet et raconte beaucoup car elle ne montre rien.