Hier, Dax était mélancolique. De sa féria plus blanc que blanc qui s’achevait par le traditionnel et tristement poignant Agur Jaunak, du jour qui raccourcit, de l’été qui se meurt et de la corrida de la veille, celle des Aldeanueva de Pedraza de Yeltes à propos de laquelle il semblerait que certains toros aient « chargé le cheval le sourire aux lèvres » (sic). La mélancolie aime le silence. Or, hier, à Dax, les trois
Aujourd’hui, à Dax, première corrida de la féria avec des toros de Montalvo pour Ponce, Perera et Del Álamo. Miracle du Net, la chronique de cette corrida est déjà en ligne sur le blog de Zanzi, Algo de memoria, et elle est signée El Nuevo. Extrait : « À noter. — Chevaux nerveux mais l’alguazil de droite ne s’est pas trop affolé. Attention à ne pas trop prendre confiance. » J’ai quelques idées
Si l’on en croit le blog sur lequel nous avons trouvé cette photographie de Lauren Bacall (1924 – 2014), il s’agirait de la Plaza de toros de Las Ventas, le 10 mai 1959, jour de novillada à Madrid. La seule source concernant l’auteur de la photographie fait mention de : « El Mundo/EFE ».
Il y a ceux qui voudraient écrire comme Proust, et qui ne le peuvent pas. Ils vendent certes quelques livres, mais des Proust il n’y en a qu’un seul et, longtemps, les mauvais copieurs pourront se lever de bonne heure. Comme il n’y a qu’un seul Proust, il n’y a, aussi, qu’un seul Paco Ojeda. Juan Leal a beau admirer, copier et, surtout, singer le maestro, il n’arrivera jamais