Il y a quelques années de cela, mais pas très longtemps non plus, Laurent Larrieu, sans doute pris d’un excès ou d’un accès de lucidité, s’était mis en tête de sauver la crevette espagnole. La gambas quoi — oui, je mets un « s » à la fin de « la » gambas. J’ai envie. Nous avions même publié son manifeste dans notre premier livre, que vous ne pouvez plus acheter, mais vous pouvez toujours acheter le troisième… Eh ! oh
Mais qu’est-ce que c’est que ce pelage ? Ce toro appartient à l’élevage portugais de João Ramalho dont le sang est très fortement dominé par du Pinto Barreiros. Si certain(e)s d’entre vous ont quelque idée sur les qualificatifs à donner à ce pelage, nous sommes tout ouïe. Les deux photographies sont de Laurent Morincome, merci à lui.
« Il était temps que janvier fît place à février. Janvier est de très loin le plus saumâtre, le plus grumeleux, le moins pétillant de l’année. Les plus sous-doués d’entre vous auront remarqué que janvier débute le premier. Je veux dire que ce n’est pas moi qui ai commencé. Et qu’est-ce que le premier janvier, sinon le jour honni entre tous où des brassées d’imbéciles joviaux se jettent sur leur téléphone
Une vraie devinette cette fois tant celle de Florent fait pitié… La devinette est la suivante : quel animal est représenté sur la casquette de l’homme qui prend une photo d’un pylône électrique ? 1. Une marmotte finlandaise 2. Un castor éthiopien 3. Un orignal du Manitoba.
Voici une image tirée du film L’Interprète, de Sydney Pollack, sorti en 2005. Ne me demandez pas si le film est bon, car je n’en sais rien. J’ai été saisi par ce moment qui se déroule au début du film. Je glandais dans mon canapé un samedi après-midi d’hiver, un de ces trop nombreux samedi après-midi sans toros, le doigt frénétique sur la télécommande jusqu’à ce qu’aparaisse cette