Écoutez, bonnes gens, la cruelle Et douloureuse histoire des frères Dalton Qui furent l’incarnation du mal Et que ceci serve d’exemple À tous ceux que le diable écarte du droit chemin Tout petits à l’école… À la place de crayons ils avaient des limes, En guise de cravates des cordes de lin. Ne vous étonnez pas, si leur tout premier crime Fut d’avoir fait mourir leur maman de chagrin Tagada, tagada, voilà les Dalton T
Le plateau ganadero est joli et assez original, c’est une évidence, mais ici, à Campos y Ruedos, nous ne pouvons cacher notre enthousiasme à l’idée de revoir en novillada piquée l’élevage du Marqués de Albaserrada mené depuis quelques années par la volonté, l’acharnement face aux difficultés et, surtout, surtout, l’amour du toro brave et de cet encaste Pedrajas de Fabrice Torrito. Le par
« Et Noiret, la lettre qu’il lit à la fin de La Vie et rien d’autre ? — Ouais… Noiret… c’est vrai… » Noiret… Et puis Philippe Noiret m’a fait penser à Bouquet, à Michel Bouquet et à sa lecture, à la fois douce et inquiète — Truffaut résumait ainsi ses impressions sur le film : « Toute la force du film réside dans le ton adopté par les auteurs : une douceur terrifiante ; on sort de là ravagé, confus et pas