Joseph Conrad, La Ligne d’ombre Les premières menaces, lointaines, s’étaient amoncelées tout au long de la corrida-concours matinale. Le ciel se chargeait, pompait tranquillement de l’encre comme un picador exécutant de viles consignes. Ça n’avait l’air de rien. Il faisait encore un temps magnifique. Puis ça s’est couvert par paliers, en des tons qui n’appelaient pas forcément à la prudence, qui n’invitaient pas quoi
Parmi les différentes expositions qui seront proposées aux aficionados dans le cadre de la Feria de Pentecôtavic, nous ne pouvons que vous inciter à passer voir celle de notre ami et collaborateur Florent Lucas qui crée des têtes de toros et des toros sur des supports en bois avec des collages originaux. L’exposition est visible dans la galerie des arènes et en plus, il ne mord pas. Vous pouvez retrouver son oe
Tous ces amours de courte haleine embellissaient nos vies, d’un éclat mauve de bruyère, au Mont sans souci Nous nous fréquentions de loin en loin, quand cela tombait. J’avais voulu être proche, j’aurais voulu l’être, j’aimais bien le « personnage » sans trop savoir ce qui tenait de la construction artificielle mais campagnarde destinée à vendre du vinyle (entendez du marketing) et de la
D’après des sources invérifiées, Nicoletta est donc malade, mais avant-hier c’est Rita Lee qui a cédé face au crabe. Triste nouvelle, sa période « Os Mutantes », assez chabraque ; m’a toujours semblé une merveille de liberté créative, d’essais en tout genre, avec ce talent brésilien pour dévorer les influences étrangères pour mieux les régurgiter ensuite. Rendre au centuple à la grande Nature disait l’autre en digres
Scène 1 La scène se déroule sur la terrasse d’un bar taurin en face d’une arène de capitale inconnue, un certain dimanche, un certain matin, incertain mois de mai. Un banderillero présente un aficionado à un groupe de taurinos et disparaît au bar pour commander quelques cafés. Happé par des connaissances, absorbé par le milieu, il ne revient pas en scène. L’apoderado : Oh t’y es Français !? d’où tu connais R ? L’afi