Quand la porte s’est enfin ouverte, il avait fallu attendre le feu vert après la sieste traditionnelle, un miroir posé sur pied a reflété le haut de son corps. Il était encore à demi nu. Un quidam passant là sans rien savoir aurait cru voir un mort. Un cadavre. La vision était épidermique et charnelle et il n’était pas question d’âme, d’esprit ou de Salut. Un cadavre, viande dure et froide. Creusé de traits profonds
Tout cela est passionnant, et encore passionné, probablement moins qu’auparavant mais passionné tout de même et c’est pour cela que les absences me pèsent. Les absences ? Ceux qui ne viennent plus depuis longtemps ou ceux qui rangent désormais le public madrilène au côté de celui de Séville ; ce qui conduit à rayer d’un trait de plume les rendez-vous venteños d’un coup sec, comme une gifle du
Pourquoi pas après tout ? C’est ce que nous sommes dit. Après tout et avant… peut-être plus rien du tout, du moins en France. Alors on y revient, aux Analectes, aux morceaux choisis, mis en page et en beauté. Ça durera ce que ça durera mais dès aujourd’hui, chacun de nos lecteurs peut demander à s’inscrire pour recevoir le PDF des Analectes de Campos y Ruedos n° 92 en nous envoyant un mail à l
En français, ça ne donne rien. « La route et la couverture », un an d’abonnement à Coudre magasine, à la rigueur. En castillan, c’est une autre paire de manche. Carretera y manta, c’est l’assonance du a, du début de tout donc, du possible à l’infini. Il n’y a rien d’exagéré à l’écrire si l’on prend en considération la signification de cette expression fantasmagorique. Carretera y manta, c’est le départ imminent, le p
Uno vuelve siempre A los viejos sitios Donde amó… … la vida (Chavela Vargas) Au vu de l’affluence des grands soir ce mercredi au ‘Lincoln’, le temps de ‘l’ombre de Goya’ en haut de l’affiche pourrait bien être compté. Nous étions deux. Le film est un documentaire sans grands moyens, affligé d’une photographie très numérique, mais qui vaut par le propos de Jean-Claude Carrière, filmé dans so