Chaque année, fin octobre, l’heure se prépare à l’hiver et la nuit vient plus tôt. Elle serait venue de toute façon, mais plus tard et mieux, en somme. Nous le pensons depuis un moment, la corrida mourra d’elle-même, de ses propres dysfonctionnements, de ses errements lentement consentis et sûrement adoptés par tous, ou presque. Mais il en est toujours, et sans cesse, pour qui le cours du temps qui file à son rythme
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