Ce sont des chats qui vous accueillent sur le perron, la gueule figée dans les derniers rayons du soleil. Un coq et des poules aussi. Et des gosses qui suivent leur grand-père sans cri ; petites ombres attentives qui ne lâchent pas les toros des yeux. Des toros, il n’en reste qu’une demi-douzaine dans un cercado boursouflé d’herbes grasses et hirsutes, et pas un barroso. Chez Araúz de Robles, le barroso 1 c’est comme
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