En 2009, François Bruschet photographia José Tomás lors du paseíllo, à Barcelone. C’est ce José Tomás ainsi vu et immortalisé que Sylvain Fraysse reproduisit sur un mur à côté des arènes de Nîmes. Ce graffiti, désormais célèbre mais éphémère, sera englouti en septembre prochain dans les travaux du nouveau musée de la Romanité. François Bruschet, à son tour, a photographié le graf’, revu le mythe en une déclinai
Un collaborateur de Campos y Ruedos, empêché par un problème de santé, ne peut se rendre à Vic-Fezensac et dispose de deux abonnements à 200 € chacun, qui sont remis en vente : soleil, escalier A, rang 6, places n° 16 et 17. Pratiquement, l’emplacement est au-dessus de la porte du patio, face aux piques et à côté du passage des escaliers. De plus, la réservation s’accompagne d’un hébergement dans un
La vie d’un semental n’est en rien une sinécure même si, considérée d’un point de vue strictement humain, qui plus est machiste, le topos du harem ne manque pas de faire fantasmer et ainsi croire que la vie est belle et bienheureuse quand des femelles par dizaines, phéromones au vent, sont là pour satisfaire la moindre de vos envies. ‘Portugués’, s’il pouvait causer, en aurait long à raconter sur le dérou
Le 16 mai 1920, à Talavera de la Reina, dans la province de Tolède, il y 95 ans, le toro ‘Bailaor’ enfonçait sa corne dans le ventre de Joselito avant de le reprendre au sol et de mettre fin à la courte vie d’un des toreros les plus marquants de l’histoire. Depuis, l’homme est devenu un mythe. Il y a beaucoup de blessés actuellement en piste, trop sans doute pour un début de saison… Attention, torée