Les obsèques de Lucien Clergue auront lieu aujourd’hui, à Arles, évidemment. De l’œuvre qu’il laisse, il existe un petit livre qui ici nous aura fait énormément parler, réfléchir, regarder, rêver : Toros muertos. D’une certaine manière nous lui devons beaucoup. Cet ouvrage, aujourd’hui épuisé, vaut une petite fortune chez les bouquinistes. Si vous le croisez, ne le laissez pas échapper. Clergue fut le premier sans d
Pésame mucho : la 214e nécro de cet automne meurtrier concerne deux drôles de personnages disparus ce jour. Mike Nichols, né avec un nom allemand quelque part à Berlin avant-guerre, avait rencontré le succès à Hollywood, de Qui a peur de Virginia Woolf ? à Closer, entre adultes consentants. Dans les années 1970, il avait offert à Art Garfunkel une expérience d’acteur aux côtés de Jack Nicholson dans Ce plaisir
En matière taurine, il ne faut présager de rien. C’est pour cela que la corrida n’est en rien une représentation théâtrale répétée à satiété pour être parfaite. Après Vic-Fezensac, c’est donc autour de Céret d’annoncer les ganaderías qui composeront son plateau tauromachique de juillet. Si, de prime abord, l’affiche est réellement attractive — et les quelques photos entrevues font se pourlécher les babines —, avec le
À Campos y Ruedos, nous ne sommes pas des acharnés du copier-coller — au contraire même —, mais ce petit texte écrit par Fabrice Torrito, mayoral de la ganadería Excmo. Sr. Marqués de Albaserrada, pour rendre hommage à l’afición du défunt ganadero mérite, à notre avis, d’être lu et relu. Le discours, le geste, l’émotion, tout y est : « “— Ah, le torero vedette d’aujourd’hui… ne m’en parlez pas. Mais