La leyenda invisible Desde hace años se ha ido desprendiendo de todo lo accesorio, de esos extras que no son esenciales para ser un matador radical. José Tomás comenzó por evitar las retransmisiones televisivas de sus corridas. Después eliminó de su agenda las entrevistas, se quitó de afeitarse, del petardeo social en el que nadan otros diestros, de las grandes fiestas y últimamente está casi a punto de olvidar cómo
On peut en penser ce qu’on veut, mais les temps changent. Les temps changent, car les zantis ont changé — de stratégie et, surtout, de nature. Jadis, les mémères à leur chien-chien étaient, il faut bien le dire, plus amusantes que réellement inquiétantes. Ceci ne dispensa toutefois pas l’Afición de se battre devant les tribunaux pour conquérir, pas à pas, sa légitimité et, au final, les bénéfices d’une jurisprudence
Dans trois mois exactement, ce sera déjà la fin de la féria de Céret, et au moment de nous séparer nous aurons déjà des velléités de Vallespir pour 2015. Je mentirais en disant que les carteles de cette année me font le même effet que ceux de Nîmes sur les élus locaux de la ville susnommée. Toutefois, par fidélité, dévotion et entêtement au moins, il est hors de question que la Catalogne se passe de moi. L’an d
Là, comment dire… C’est tellement beau qu’il n’y a rien à dire, justement. Simplement, vous dégustez. Enjoy. P.S. 1. — Une simple précision pour les estrangers : le monsieur qui est si content de « twitter » cette lumineuse et géniale déclaration est un élu de la majorité municipale. P.S. 2. — Rien à voir avec Gaspard.
« Départ, l’un des plus beaux mots qui soient, des plus riches en douleurs, en désirs, en délires… Il n’est point de port qui sonne le départ à l’égal de Marseille. Il pénètre au cœur de la cité ; vient chercher l’homme au pied du lit, au saut du train. Tout y parle de départ, tout s’y précipite. » — André Suarès