C’était il n’y a pas loin d’un an maintenant. La veille au soir, sous la douceur rougie du soleil couchant, nous étions venus jeter un coup d’œil, et un vaquero — qui s’était présenté comme le mayoral de l’élevage — avait tout fait pour nous décourager de revenir. Peu de toros, pas grand-chose à voir ! Nous étions revenus le lendemain, forts d’un coup de téléphone au tenancier du lieu ; don Mariano Sanz Giménez et le
Il n’y a pas de mots qui viennent, rien qui ne sorte. C’est trop inattendu. Alors rien, sauf une immense tristesse. Il y a peu, un ami proche a perdu sa mère. Je lui ai juste écrit que dans ces cas-là il n’y a rien de bien intelligent à dire, mais que je pensais à lui, et c’était tout. Joaquín Monfil était un type bien, voix caverneuse et assurée, posée, carrure imposante, moustache très gauloise, mais aussi et surto
« C’est toujours de la nostalgie qu’il s’agit. Sans nostalgie on ne peut pas avoir d’images. » — Anders Petersen La photographie, prise à Marseille, n’est pas d’Anders Petersen, mais de ma pomme. En revanche, si vous avez l’occasion de monter à la capitale ne manquez surtout pas l’exposition que lui consacre la Bibliothèque nationale de France…
Il n’y a pas de raison pour que vous n’en profitiez pas. Voici la carte de vœux que j’ai préparée pour mes clients afin de leur souhaiter de bonnes fêtes de Noël. D’ailleurs, je vous ai laissé un rectangle blanc pour que vous puissiez écrire votre nom si vous souhaitez réutiliser ce chef d’œuvre. Je suis certain que Jérôme et Alain seront fiers de moi et qu’ils ne vont pas tarder à me féliciter chaleureusement pour m
Il était une fois un élevage de taureaux de combat espagnol abîmé sur les terres grasses et vertes du centre de la France, poussé à l’exil par l’herbe rare d’un sud que l’on idéalise trop… parfois… La suite c’est Alain ‘Puntilla’ Lagorce qui la raconte — on clique sur l’image.