Le plateau ganadero est joli et assez original, c’est une évidence, mais ici, à Campos y Ruedos, nous ne pouvons cacher notre enthousiasme à l’idée de revoir en novillada piquée l’élevage du Marqués de Albaserrada mené depuis quelques années par la volonté, l’acharnement face aux difficultés et, surtout, surtout, l’amour du toro brave et de cet encaste Pedrajas de Fabrice Torrito. Le par
« Et Noiret, la lettre qu’il lit à la fin de La Vie et rien d’autre ? — Ouais… Noiret… c’est vrai… » Noiret… Et puis Philippe Noiret m’a fait penser à Bouquet, à Michel Bouquet et à sa lecture, à la fois douce et inquiète — Truffaut résumait ainsi ses impressions sur le film : « Toute la force du film réside dans le ton adopté par les auteurs : une douceur terrifiante ; on sort de là ravagé, confus et pas
Paris, le 9 décembre 2013, présentation du livre Dialogue avec Navegante. Ils étaient tous là, enfin presque, pas l’immense écrivain Simon Casas, professionnellement retenu au Mexique, ni Mario Vargas Llosa — un autre écrivain, paraît-il —, mais le philosophe au livre-outil Wolff, le Club taurin de Paris, le Zocato, le Valade, d’anciens toreros, des vieilles emperlousées passées depuis longtemps de l’eau de toilette