Avec l’autorisation de l’auteur, nous publions ici un texte récent de Chapu Apaolaza dans lequel il évoque la mémoire de son père Paco Apaolaza… superbe.
Le Portugal des ganadarias est à l’image des hommes et des femmes du pays : la discrétion l’emporte souvent sur la parade ; la simplicité, le sens de l’accueil sans chichi, sans poudre aux yeux s’accordent sans clairon ni trompette avec le sérieux et la beauté d’une fierté portée de l’intérieur. Ici, on élève des toros forts parce que les forcados sont des héros qui refusent la glo
Comme toujours ces cas là il y a ceux qui l’on vu, pour de vrai, et les autres. Et les autres voudraient bien savoir, se faire une idée. Le problème ainsi que l’a écrit Nicolas Rivière c’est que la plupart de ceux qui y étaient – ou pas d’ailleurs – n’ont d’autre argument à faire valoir pour «expliquer» leur satisfaction que le plaisir immédiat qu’ils ont pu en retirer. Les autres sont des salauds. On con
Le phénomène a des poussées violentes, incontrôlables. Des prises de vigueur de plus en plus fréquentes, renforcées chez certains par l’émulation de l’unanimisme, la griserie rassurante de la meute hurlante. Des différentes plaies qui affectent la tauromachie contemporaine, le panurgisme « triomphalisto-crisolien » et ses indultos tout en dentelle, se hisse parmi ce qui se fait de plus navrant. Cette fail
Le plus terrible est probablement de ne pas aller aux arènes et de n’en concevoir aucune frustration… croyais-je. De la feria de Séville, je vois surtout les photos des copains, je n’en lis qu’Ilian, qui a le talent contraint de la concision, je n’ai guère de curiosité. Mon ami Patrick m’envoie le SMS suivant : Chèvre graciée par le Juli. Je ne pensais pas que nous tomberions aussi