Ce n’est pas une découverte. On côtoie sur Internet le meilleurs, le pire, le loufoque, le débile, le très débile, le brillant, le minable. Enfin tout quoi. Cette semaine, j’ai appris, sous les applaudissements ravis, que diffuser des images de cornadas c’est tendre des perches aux antis. Pourquoi ? Aucune idée. Le truc est balancé comme une fatwa, sans l’once du moindre début de raisonnement. C’est mal, c’est tout.
La ganadería d’Apolinar Soriano – décidément l’Espagne a un talent certain pour le choix des prénoms – n’est pas la plus renommée, loin s’en faut. D’origine Nuñez depuis une trentaine d’années, il n’est pas injurieux d’écrire que l’élevage flirtait ces dernières années avec la confidentialité, tout du moins dans les férias « importantes » et en France. Le doyen et
Après de nombreuses hésitations qu’expliquent le temps qui manque, la lassitude aussi, parfois, nous sommes heureux d’annoncer à tous ceux qui sont abonnés à notre » lettre d’information » intitulée Les Analectes de Campos y Ruedos que celle-ci reprend vie sous son format PDF dès aujourd’hui. La parution devrait être mensuelle si tout va bien. Vous êtes actuellement plus de 450 abonnés aux A
Le 2 octobre 2013, sur notre ancien blog, notre Barth nous faisait partager ce qui suit… L’écueil qui guette toute personne rendant public son opinion sur un sujet précis et récurrent comme peuvent l’être les toros est cet « aquoibonisme » à fort pouvoir absorbant où s’enlisent les coups de gueule qui semblent répétitifs à la longue, les convictions maintes fois assénées et les sujets trop ressassés… Sans parle