Sans se draper du facile « c’était mieux avant », il n’est pas outrancier d’écrire que les grandes plumes ont déserté le monde de la corrida. Si le style s’impose chez certains, souvent le fond ne l’accompagne pas et le vide de ses jolis atours. Dans le panorama critique de ce premier XXI° siècle, seul Antonio Lorca qui signe de son nom dans la rubrique taurine du quotidien El País suscite encore réactions, cris d’or
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