En 1840, passons sur les détails, l’Europe babillait : l’Italie n’existait pas, l’Allemagne n’était qu’une langue que la Prusse voulait dresser et faire obéir, on disait prolétaires ou prolos, on mourrait jeune, on vivait mal sauf chez les Grégoire de Zola, salauds de Bourgeois pensait la Maheude. En 1840, passons sur les détails car ils ne sont pas connus, de nous en tout cas, José Vaz Monteiro, fils de António José
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