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François Bruschet

La féerie… ce sera pour une autre fois

C’est dimanche, jour du seigneur, et Campos y Ruedos somnole, depuis quelques semaines déjà, il faut dire, et pas que le dimanche.  Faut bien avouer aussi qu’en ce moment rien ne nous passionne. Les histoires du G-je-sais-plus-combien avec Séville et leurs magouilles mexicaines on s’en moque, à un degré, inimaginable. Le truc du plagiat médiocre de l’affiche de la féria de Nîmes, on s’en moque encore plus. Ridicule.
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Le dimanche

C’est un fait, acquis, les toros s’ennuient le dimanche. Et pas que les toros, les aficionados aussi. En attendant le printemps et le soleil, certains plongent leur nez dans les effluves subtiles et complexes d’un Pedro Ximénez, d’autres… Eh bien d’autres… On ne va pas non plus leur jeter la pierre. Tout le monde ne peut pas avoir la chance de vivre au sud de la Loire.
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Le voyage pas tout à fait imaginaire

Ademuz, Albalate de las Nogueras, Altarejos, Belmontejo, Beteta, Buenache de Alarcón, Cañete, Casas de Benítez, Casas de Fernando Alonso, Casas de Haro, Casasimarro, El Herrumblar, Fuensalida, Hontecillas, Honrubia, Hontanaya, Iniesta, La Alberca de Záncara, Landete, Leganiel, Mora de Toledo, Mota de Altarejos, Motilla del Palancar, Ontur, Osa de la Vega, Priegos, San Martín de la Vega, Segovia, Talayuela, Tarancón,
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Les végétariens

« Les végétariens sont les plus grands hérétiques, car ils refusent de se glisser, par une communion solennelle et carnivore, dans ce moment subtil, ce passage de trépas à vie que tout hamburger sublime : la prépourriture. « (…) Toute notre existence se situe, comme la viande, dans cet intervalle, ce petit espace comestible de fraîcheur, entre la mort et la pourriture. Plus frais que la fraîcheur, c’est la vie. « (…)
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