Les doutes étaient permis. La dernière corrida du fer de Ernesto Louro Fernandes de Castro avait été lidiée à Céret, en 1995, et n’avait pas été bonne. Depuis, personne ne pouvait dire ou prédire quoi que ce soit — heureux les voyants en matière taurine —, et l’on inclinait plutôt vers le doute que vers la confiance pour ce lot superbe de lignes, sans un poil de graisse superflue (les poids au débarquement oscillaien
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