A la fin des années quatre-vingt-dix, El Fundi, Pepín Liria, Domingo Valderrama, Miguel Rodriguez et quelques autres affrontaient régulièrement les cathédrales de chez Dolorès Aguirre. Toros puissants, souvent mansos, dangereux, violents, mais aussi parfois nobles comme pour Jose Pacheco el Califa en 2000 ou bien plus tard pour l’inoubliable course de Saint-Martin-de-Crau. Le taurinisme officiel détestait cet élevage
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