À Orthez on aime s’y rendre quand on aime les toros. Cette arène commence à faire partie du pèlerinage des aficionados au même titre que Céret, Vic, ou désormais San Agustín de Guadalix que tout le monde connaît maintenant. Autrefois, ce nom n’évoquait qu’un panneau de sortie d’autoroute et ne suscitait absolument rien dans la rêverie somnolente de l’aficionado automobiliste que je suis, sur le chemin de Las Ventas a
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