Hier, Dax était mélancolique. De sa féria plus blanc que blanc qui s’achevait par le traditionnel et tristement poignant Agur Jaunak, du jour qui raccourcit, de l’été qui se meurt et de la corrida de la veille, celle des Aldeanueva de Pedraza de Yeltes à propos de laquelle il semblerait que certains toros aient « chargé le cheval le sourire aux lèvres » (sic). La mélancolie aime le silence. Or, hier, à Dax, les trois
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