La Puta Madre À Séville même la comptabilité revêt des aspects ésotériques qui nous échappent. Bruna évoquait certains épisodes de sinpa* dans le restaurant qui l’emploie : – Y algún día, fui atrás de una pareja de Chinos porque faltaban 5 centavos… – 5 centavos ? – Si, si… 5 centavos ! Que yo después hago la caja con la entrada, la salida y la puta madre !** La Puta Madre consiste
Céret a présenté cette semaine le cartel de sa féria. Un an après Carlos Salgado, c’est au tour de Jérôme Pradet — les deux sont des collaborateurs de Campos y Ruedos — d’annoncer le toujours très attendu week-end cérétan de la mi-juillet. Dans un style très personnel et griffé de sa typographie pradesque, Jérôme esquisse avec force et efficacité son picador solitaire qui, dans sa posture désinvolte, semb
À l’heure où le public sévillan accordait à ‘Cobradiezmos’ le droit de vivre quelques années de plus, nous apprenions le décès du ganadero lusitanien Manuel Assunção Coimbra dont les puissants toros d’origine Parladé ont été vus ces dernières années dans une arène du Sud-est de la France dont les coordonnées sont les suivantes : Latitude : 42°29′07″ Nord / Longitude : 2°44′52″ Est. Qu’il
On le sait depuis 1789, le 14 juillet : « rien ». Cette année nous avons pris trois mois d’avance. Après la commotion de joie qui secoua la Séville taurine la veille, le retour à la normale fut résigné quoique un peu brutal tout de même. Retour des figures et des toros « Domé », retour à la modernité servile et sans émotion, à la médiocrité, la fadeur, la faiblesse. Lot de Nuñez del Cuvillo tout en nuances de n
« But you stand there so nice in your blizzard of ice Oh please, let me come into the storm » Leonard Cohen – One of us cannot be wrong Que l’on me permette d’évoquer ici la première corrida de Victorino Martin à Séville en avril 1996, le sorcier de Galapagar, El Tato, mon père et moi même effectuions ce jours là nos présentations respectives à la Maestranza : Ortega Cano et Pépin Liria complétaient