Avant, j’allais à Benifairó de les Valls pour la place de l’église, le mur de pierres séculaire qui délimite la cour de l’ancien palais seigneurial, et la barrière qui le prolonge et qu’on installe les jours de toro. Sur le mur, les gens s’assoient en rang d’oignons et tentent d’apercevoir le toro entre les branches des arbres, tant bien que mal, au risque de choper un torticolis. À Benifairó, j’y allais pour la sort