Étienne Barbazan, membre actif, et même suractif, du Club taurin vicois, est également photographe. Ses images seront exposées, dans le cadre des fêtes taurines, à la mairie de Plaisance-du-Gers, du 11 au 14 juillet 2014.
Beaucoup d’aficionados du Sud-Ouest — et de bien plus loin, on imagine — ont fait de lui une référence de la critique taurine, et, à le lire car trop jeune pour avoir eu le privilège de le croiser, on aurait tendance à les croire, et même à vouloir en savoir un peu plus. Claude Pelletier était bayonnais, enseignant, grand et il aimait écrire. Donc il écrivit, et beaucoup, sur les toros. Son ouvrage Bayonne, sept sièc
Ils ont vidé la « La Amarguilla » de cornes et de couilles de toros. Il n’y a plus grand-chose à voir, alors autant se cacher pour bosser au calme en savourant la fraîcheur de la sierra de Aracena quand Séville et sa campiña brûlent sous le soleil précoce du printemps. Les frères Buendía del Cid sont les héritiers d’une histoire taurine hors du commun, achetée par leur grand-père au comte de Santa Coloma, en 1932. On
Férias parle de férias mais pas de toros. Mais ne partez pas. Férias est un objet photographique imaginé et conçu par l’association Negpos. Le principe, de ce qui devrait devenir une série, est d’inviter un photographe en résidence pour témoigner de la fête dans la rue. Une fois la sélection des photographies effectuée, c’est l’Atelier Baie qui prend le relais pour un travail d’édition toujours aussi soigné. Le premi