L’Adac vient d’annoncer les ganaderías qui fouleront le sable catalan en juillet, et il n’est pas exagéré d’écrire que, sur le papier, le plateau bravo donne réellement envie : une corrida de D. Adolfo Martín Andrés, une autre de Hros. de Felipe Bartolomé Sanz et, enfin, une dernière sous la forme d’une sorte de competencia entre les élevages de D. Victorino Martín Andrés et D. José Esco
Ce soir, le lion est mort. Un lion altier à fière crinière qui avait fait sienne la devise d’un autre félin : « Le léopard meurt avec ses taches, et je ne me suis jamais proposé, ni ne me suis cru capable, de m’améliorer. » — Guy Debord Et c’est ainsi qu’il a vécu. Nous lui devons vingt-cinq ans d’afición et de respect. José Angulo, qui me transmet ces lignes, évoquera prochainement la mémoire
Ce sont des chats qui vous accueillent sur le perron, la gueule figée dans les derniers rayons du soleil. Un coq et des poules aussi. Et des gosses qui suivent leur grand-père sans cri ; petites ombres attentives qui ne lâchent pas les toros des yeux. Des toros, il n’en reste qu’une demi-douzaine dans un cercado boursouflé d’herbes grasses et hirsutes, et pas un barroso. Chez Araúz de Robles, le barroso 1 c’est comme