“Mio padre diceva che la ragione per cui si vive è per prepararsi ad essere morti” William Faulkner – Mentre morivo Ivan Fandino oggi è cenere. Un mucchietto di materia soffice, nerastra e oscena. Chiuso in un’urna triste, chiuso lì per sempre, chiuso, che era stato uomo libero e torero di libertà. A bruciarlo è stato il corno destro di Provechito, che prima l’ha scavato, poi violentato e infine fatto grigio. In quel
Jacques Durand dans sa page éditée par l’Atelier BAIE évoque évidemment la disparition d’Ivan Fandiño et nous autorise à le partager ici… On ne fera pas le Xième rappel de la carrière de Fandiño. On ne brodera pas sur « le dernier torero basque ». On ne convoquera pas le thème malheureusement vivace de «la tragédie des toros». On n’exhibera pas le cadavre d’Ivan Fandiño pour l’opposer aux lamentables contrevéri
Buscando mis amores iré por esos montes y riberas; no cogeré las flores, ni temeré a las fieras, y pasaré los fuertes y fronteras. St Jean de la Croix, Cantico Pour paradoxal que cela paraisse, la mort du torero s’avère inconcevable pour l’aficionado. Paradoxal car la mort est l’argument principal de la lidia bien entendu. Inconcevable de circonstance : la mort semble toujours frapper par accident en tauromachie et c
Il en va des oraisons funèbres comme des faenas : elles peuvent être dites en peu de mots (n’est pas Bossuet ou Malraux qui veut), et c’est souvent mieux ainsi. Que dire de la mort d’un homme ? Peu de choses en somme. La disparition tragique d’Ivan Fandiño a créé une onde de choc terrible, et suscité de nombreuses réactions, parfois extrêmement émouvantes, comme François s’en est fait récemment l’écho et comme Lauren
Il s’écrit et se diffuse forcément beaucoup de choses sur la disparition tragique de Fandiño. Et le ressac nous en laisse de très fortes, comme ce texte de Antonio Díaz paru sur le blog « hasta el rabo todo es toro » qui n’avait rien publié depuis 2012… Antonio nous a autorisé à reproduire ici. Tampoco ha pasado tanto tiempo desde que los yonkis de andanada, adictos a la papelina diaria de solymosca